Après la claque que m’a mise Herbie Hancock, je décide de reprendre une nouvelle dose de Jazz et de Blues à Piedmont et voici ce dont on peut profiter pendant une heure et trente minutes…
Au festival de Jazz d’Atlanta, tu viens avec ta tente et ton pique-nique
Au festival de Jazz d’Atlanta, tu discutes avec tes voisins de la pluie et du beau temps
Au festival de Jazz d’Atlanta, tu te lèves de ta chaise de camping pour applaudir le band qui finit sa chanson
Au festival de Jazz d’Atlanta, tu viens avec femme et enfants
Au festival de Jazz d’Atlanta, activités pour tout le monde sont prévues
Au festival de Jazz d’Atlanta, Lou Donaldson, son Quartet et ses quatre-vingts ans qui nous parle de ces problèmes de bandaison (le viagra à 80 ans passés, je veux bien) et de la femme l’aimant autant lui que le whisky
Au festival de Jazz d’Atlanta, on s’étend dans l’herbe et y piqué un roupillon avec des jolies berceuses
Enfin, au festival de Jazz d’Atlanta, on peut entendre une reprise de « What a wonderful world » et dans ce contexte, on se dit qu’on n'est pas loin de la vérité…
Allez à fond Gaston
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